Un blog qui devient ...

Un blog parti de rien. Pour une raison qui m’est encore inconnue. Peu importe le concept me plaît ! "J'adooooore l'idée !!!"

26 août 2007

Le disco est immortel

Rien de tel qu’une jolie boule disco pour mettre l’ambiance en n’importe quel lieu. Formée de milliers de minuscules miroirs reflétant la lumière dans tous les sens de manière aléatoire selon l’orientation de ceux-ci.

Belle image de l’homme qui s’y reflète. Lui et ses multiples facettes. Sa vie segmentée en plusieurs univers englobés dans une seule et même personne, rythmée par les surprises de la vie. Tel le disco la redon-dance demeure marginalisée. Ainsi il s’intéresse à tout, de manière plus ou moins éclairée. Ses cotés sombres dépendent principalement de ses points de vue sur ce qui l’entoure ou des amis qui gravitent autour de lui.

Les jours et les nuits se suivent paradoxalement aussi identiques que différentes les unes des autres. Une vie en mouvement que rien ne serait interrompre cependant, une fois les lumières éteintes le rythme ralenti et aussi bien l’homme que la boule à facette s’endorment paisiblement dans cette rotation perpétuelle de la vie.

19 juillet 2007

Amour CRUel

Est-ce que tu rappelles quand on prenait le temps
De s'aimer vraiment
Est ce que tu te souviens de tes sourires innocents
On était des enfants
Ce soir je suis là pour toi, j’ai coupé mon téléphone
Je ne veux voir personne
Je veux qu’on soit comme avant
Qu’on ait les mains qui tremblent
Je veux plus attendre

Ho ! Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

Comme si je sortais de prison
Après 20 ans de réclusion

Ho ! Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

J’ai vu des culs toute la journée
Tant pis c’est toi qui va payer

Ho tu vas prendre !

Je suis fragile comme une fleur
Fragile comme la soie
J’ai besoin de toi.
Je ne tarderais pas mon cœur
Glisses toi dans les draps
Mais surtout ne t’endors pas
Parce que ce soir tu vas prendre

Ho tu vas prendre !

Je vais t’en mettre pour 10 ans
Tu raconteras a tes enfants

Ho tu vas prendre !

Oui tu vas prendre

J’espère que tu es véhiculé
Parce que tu pourras plus marcher

Ho tu vas prendre !

L’amour c’est un peu ca
C’est comme au cinéma
D’ailleurs j’ai pris la caméra

Et ce soir tu va prendre !
Ho tu vas prendre !

Je sais ta bouffé chez ta mère
Mais je t’ai ramené le dessert
Ho tu vas prendre !
Oui tu vas prendre !
Si jamais tu as encore faim
J’ai ramené 2/3 copains

Ho tu vas prendre !
Mais tu vas prendre …

Lalala
Lalala

Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre

Lalala
Lalala




On remercie Max Boublil pour ces belles paroles !

01 mai 2007

Intentionnelle beauté

Le ciel est bleu, il fait chaud, bref il fait beau ! La beauté est partout. Leitmotiv de la société actuelle, la beauté génère l'appréciation de tous. Encore un dictât irrémédiablement humain. L'Homme dans toute sa splendeur.

Certains vous dirons volontiers que la beauté ne fait pas tout. Offrez donc leur un joli bouquet de fougères et appréciez leur réaction. Il parait que c'est l'intention qui compte.

Cette illustre intention, mouvement de l'âme par lequel on tend à quelque fin. Aussi bonne soit elle, la finalité peut être désastreuse.

Intention d'article...

27 mars 2007

Libre arbitre

La recherche d’une certaine sorte de liberté induit-elle mécaniquement la perte d’une autre qui nous était déjà acquise ? Je commence cet article par une interrogation pour remettre en question ce que je considère comme utopie, la liberté absolue. Prônée par tant de gens. Qui n’a jamais dit, je cite : « J’aimerais être libre ! » ? Du prisonnier au Dalaï lama en passant par Johnny Hallyday personne ne peut échapper à cette exaltante volonté.

L’abstraction de mes articles réclame désormais un exemple (aussi abstrait soit-il) : La liberté souvent caractérisée par l’envie d’être loin de tous deviens un dogme lorsque l’on sait que faire apparaître cette liberté fait disparaître celle de retourner au lieu d’où nous venons.

Ceci est inhérent à l’adulte, car l’enfant lui échappe à la règle. Sa volonté est moindre tout comme sa capacité à l’imposer. En conséquence cette nécessité de liberté s’efface. Bassement caractérisé par une mutation physique avérée et parfois par le terme « maturité », le passage de l’enfant à l’adulte serait donc une volonté de liberté indéniable qui trouve le moyen de s’exprimer par la ressemblance aux autres. Oubli ton adolescent besoin d’être différent si tu veux être libre. Devenir un homme. L’homme ce temple de l’incohérence.
[Whaou que je suis viril !]
Il affirme sa différence avec l’animal, chez lequel tout n’est qu’instinct, non croyances, et ignorance du fait que chaque chose possède son opposé. Qui a inventé la notion du bien et du mal ? Qui a découvert que l’électron s’opposait au positron ? L’univers est ainsi fait ou est-ce l’homme qui lui a imposé sa vision ? Si tel est le cas, notre intellect encore trop réduit nous rend inatteignable tout sentiment de liberté absolue.

J’insiste sur le vocable « absolu » car vous pouvez malgré tout prendre la liberté d’être heureux, au détriment de celle d’être malheureux.

Heureuse liberté que de pouvoir écrire. Lisez, interprétez, réagissez.

09 mars 2007

A la gloire du moi

Se glorifier peut paraître prétentieux mais je considère que ne pas s'aimer, c'est ne pas bien vivre. J'aime la vie donc c'est que je dois m'aimer. Et quitte à parler de soi, autant le faire dans le bon sens. Préférer être glorifié que l'inverse me semble logique.

En parlant de logique, le fait que les femmes le soient beaucoup moins que les hommes doit sûrement justifier cet amour du complexe perpétuel. Oui, il est prouvé scientifiquement que les femmes ont bien plus de complexes que les hommes, si tant est que l'on admette l'espace d'un instant que je sois scientifique. Je tiens à me prévenir des remarques en faisant remarquer que la journée de la femme c'était hier. Retour aux bonnes vielles habitudes et aux journées de l'homme. Et là ce n'est pas le scientifique qui émet un avis mais vous chères demoiselles.

Bref, pourquoi "A la gloire du moi" ? Et pas tout simplement "A ma gloire" ?
Premièrement je trouve que cela fait moins guindé. Mais surtout je crois que la vraie raison (à la vraie question ;) c'est que je n'ai jamais accepté le 0 enregistré dans ma moyenne par ma défunte prof de philosophie pour le commentaire fait sur son narcissique de Freud. Il parlait de son moi, je fais mieux, je parle de moi !

J'en profite pour le confronter à un autre philosophe qui disait : "In love with myself". J'ai nommé Sir David Guetta saint patron des clubbers. Je mélange les genres j'ai l'impression. Qui peut être philosophe, Sir et saint patron en même temps ? Je pense qu'il n'y a que le patriarche du Clan Campbell, saint patron du whisky et philosophe à ses heures (principalement celles de l'irish coffee). Ou alors il y a Dieu.

J'en reviens à mon premier article, chaque homme (et femme, cela apparaît de rigueur en ces temps obscurs) est un Dieu vivant (une Déesse vivante). Aucune religion ne me contredira; aimez votre prochain, aimez Dieu.

En résumé, aimez vous, aimez moi. Femmes je vous aime.

A notre gloire.

09 février 2007

Police et coeur mou

Horrible chose que le fait d’être obligé de déchirer le papier du carambar trop collé à son contenant caramélisé, celui là même qui renferme les meilleures blagues au monde ! Ne trouvez-vous pas ? J’ai vécu cela ce matin et je ne le souhaite à personne.

Voir filer entre ses doigts une chose que l’on pensait acquise, et qui plus est, il est possible que cela soit par ma propre volonté. Si j’avais vraiment voulu ces blagues, n’aurais-je pas pris un peu plus de temps pour les obtenir. Un double désir sur lequel j’ai effectué un choix qui n’était pourtant pas primordial.

Sans regret, j’ai eu ce que je convoitais le plus, la substance qui colle aux dents, et si je n’avais pas fait de choix peut-être serais-je encore en train d’essayer de résoudre ce doux casse-tête. Nonobstant j’aurais tout aussi bien être en possession des deux, et le tout sans avoir à choisir, la chance aurait alors été suffisante. Ou alors de manière plus contrôlable, avoir une telle confiance en moi qu’avoir à faire un choix ne soit pas nécessaire.

Subséquemment, un délice sucré peu rendre la vie amère si on le consomme de mauvaise façon. A vous de savoir ce qui est mauvais ou bon pour votre petit cœur tout mou...

01 février 2007

Bonh€ur

Comme disait Mabrouk (SDF) à 16h51 sur France 5 « Si tu as la vie, les amis, la philosophie, tu as la joie ! ».

La vie : j’ai +
Les amis : je pense les avoir +
La philosophie : j’ose essayer =
La joie :-D


Bref…


Joie
n.f : Sentiment de bonheur intense, de plénitude, limité dans sa durée, éprouvé par une personne dont une aspiration, un désir est satisfait.
(extrait du petit Larousse illustré)

Etre joyeux est donc par définition limité dans la durée ! Trouvant cela affreux, je suis aller voir si être heureux ne suffisait pas. Et, après vérification, « être heureux » apporte un bonheur qui n’est pas forcement limité dans le temps, néanmoins celui-ci n’est pas intense…
J’ai l’impression que je vais déculpabiliser de nombreux dépressifs en exprimant cette névrose humaine refusant le bonheur.
Le bonheur serait donc une denrée rare, et tout ce qui est rare est cher ; Je vous propose donc un peu de mon bonheur infini pour la modique somme de 56.75€ !!!!! (Soit l’équivalant de mon découvert bancaire actuel qui est mon seul obstacle à la plénitude).

Alors comme ça l’argent ne fait pas le bonheur ?!

26 janvier 2007

Suite et début

Les nombreuses critiques plus ou moins bonnes que j’ai reçu sur cette prémisse de blog m’encourage à continuer. La situation aurait beau être différente cela n’aurait en rien changé cette volonté de créer, faire évoluer, un lieu aussi proche et lointain à la fois que m’offre l’outil qu’est internet. Il doit sans doute exister en moi une sorte de stimulant enfui dans mon subconscient qui s’exprime par ce besoin. [Besoin incessant de stimulant.] Tel ce café qui, entre amis, devient si exaltant. Je voulais Vous dédier un article, voici qui me parait une bonne transition…

Je n’ajouterais rien de plus à mon décousu discours si ce n’est cette dernière requête, celle d’assouvir vos besoins.

20 janvier 2007

Envie d'écrire...

La nature est faite de telle manière que l’homme a des besoins. Ceux-ci peuvent être aussi variés que différents, selon les personnes et les moments. Ce dont j’ai envie en ce moment c’est d’écrire… Cependant pour écrire, comme pour parler ou penser, le besoin de sujet est nécessaire. Tout du moins je le pense. Celui-ci est pourtant absent de mes pensées. Je reste bloqué sur le terme « écrire » qui ne représente rien de plus que la simple description d’une action. Une action idolâtrée par certains hommes, élevée au rang d’art. Ainsi ce n’est plus d’écrire dont il est question mais de la pensée antérieure à l’acte. Cet esprit (H)omniprésent. Cette chose indéfinissable qui nous permet d’être « supérieur » à tout autre forme de vie connue.

Ma dernière phrase me montre encore un peu plus la portée des mots qui apporte une signification, compréhensible de tous, pour expliquer nos pensées. Je ne sais si j’ai raison ou tort, mais j’ai l’impression qu’une coïncidence fait que chaque mot qui apporte une signification de l’homme nous élève tous au rang de Dieu, des Dieu vivants en quelque sorte. Un excès de narcissisme pensez-vous ? Et que pensez-vous du fait qu’il n’y a rien de plus puissant que l’homme excepté Dieu ? Ce même Dieu créé de toute pièce par l’imaginaire collectif… L’homme se sent peut être coupable, de manière paradoxale, d’avoir une place si haute dans notre petit univers. Cet homme qui souhaite qu’il y ait un ordre de tout a même inscrit une hiérarchie dans l’écriture. Regardez ces majuscules et minuscules qui influent d’une certaine manière sur la porté, la PUISSANCE du mot. Mais rassurez vous, même si cet homme qui a inventé l’écriture, ose écrire le mot « homme » avec un « h » minuscule et le mot « Dieu » avec un « d » majuscule, a aussi proclamé que Dieu avait créé l’homme à son image.

Et oui l’homme n’ose pas, je ne sais pour quelle raison, dire ce qu’il pense. Alors peut-être utilise-t-il l’écriture pour exprimer ce qu’il n’arrive pas dire à ses semblables. Puisque l’écriture persiste dans le temps en pouvant toutefois être modifiée; contrairement à la parole qui est éphémère mais qui, elle, ne peut être rectifiée. L’homme a créé un art qui permet de le placer au même niveau que celui-ci. Enfin je crois que je m’éloigne... revenons plutôt au sujet de départ :

Where do you come from dear visitors ?

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